Cette suave musique sensuelle
Fut ma muse des soirs de solitude
Elle sut alors convoquer l’Éternel
Et me faire danser de plus belle
Je m’échappais un peu d’ici
Sur un doux air de Debussy
Je suis comme une femme un peu ivre, qui danse
Sur le fil des souffrances, au bord de l’abîme
Les nuages sombres et menaçants sont immenses
Qui retiendra ce cœur qui s’abîme ?
Et remplira ce gouffre d’absence ?
Alexia.
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